Acheter son Traitement contre les Hémorroïdes sans Ordonnance préalable : Avis & Comparatif

La crise ou maladie hémorroïdaire, abusivement appelée « hémorroïdes», dans le langage populaire, touche autant les femmes que les hommes. La maladie hémorroïdaire se traduit par la dilatation des vaisseaux sanguins de l’anus et du bas du rectum avec, pour conséquences, des démangeaisons, des douleurs, des saignements et un prolapsus (glissement de la muqueuse rectale vers l’extérieur). En France, la prévalence de la maladie hémorroïdaire est de 26% de la population adulte[1] tandis qu’elle est de 27% de la population totale aux États-Unis, d’après une étude épidémiologique réalisée par PHILIPOT et HYAMS[2].

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Plus de la moitié des femmes et des hommes vivant au Canada développent des hémorroïdes au cours de leur vie.[3] En Australie, une proportion d’environ 34% de la population totale est touchée. Bien que gênante et douloureuse, cette maladie s’avère honteuse, de sorte que les personnes qui en souffrent recherchent, en premier lieu, un traitement doux, efficace et sans ordonnance qui leur permettrait de s’en sortir sans devoir affronter le regard inquisiteur d’un professionnel de la santé (médecin, sage-femme, etc.).

Sommaire

Le meilleur traitement sans ordonnance contre les hémorroïdes : les gélules Formule H

Formule H

Formule H se positionne comme la solution tant recherchée par les personnes en proie aux crises hémorroïdaires. En suivant ce traitement, elles constatent qu’elles n’ont plus de démangeaisons, ni de douleurs, ni de saignements et que le prolapsus s’est résorbé. Le traitement anti-hémorroïdes Formule H est mis au point dans des laboratoires bénéficiant de la certification agriculture biologique et répondant aux nouvelles normes ISO 22000. Pour soigner le mal en profondeur et prévenir d’éventuelles crises, ce complément alimentaire est formulée en gélules. Contrairement aux crèmes contre les hémorroïdes, les gélules font mieux que soulager les hémorroïdes : elles atteignent l’intérieur des vaisseaux sanguins, la source du mal afin d’assurer des soins efficaces dans la durée.

Quelles sont les ingrédients naturels de Formule H ?

L’efficacité de ce traitement contre les hémorroïdes réside dans la synergie des effets de 6 puissants ingrédients naturels. Il convient de les présenter en détails, y compris leur dosage journalier. Pour plus de détails, notre test complet de Formule H est accessible ici.

1 – Extrait de pépin de raisin (270 mg)

Riche en oligomères procyanidoliques et en antioxydants, l’extrait sec de pépin de raisin concoure au renforcement des parois des vaisseaux sanguins, selon plusieurs études. Il contribue à la réduction de l’inflammation, des saignements et des douleurs dues aux crises hémorroïdaires. En un mot, il est utile pour traiter et guérir les hémorroïdes.

2 – Extrait de marron d’Inde (375 mg)

La marron d’Inde est le fruit du marronnier d’Inde (Aesculus hippocastanum). Grâce à sa teneur en aescine, l’extrait de marron d’Inde intervient dans l’amélioration de la résistance des vaisseaux sanguins et optimise la circulation sanguine. L’aescine est un complexe de saponines aux effets vasoconstricteurs et anti-inflammatoires. Tout en aidant à la réparation des vaisseaux sanguins touchés par la maladie hémorroïdaire, il réduit significativement l’inflammation. Par conséquent, la crise hémorroïdaire perd en intensité et se résorbe efficacement.

3 – Extrait de fragon faux houx (Ruscus aculeatus) (150 mg)

Selon des travaux scientifiques menés dans les années 50 par deux Français, Sannié et Lapin, le fragon faux houx contient, dans ses rhizomes, au moins deux saponosides stéroïdiens, la néoruscogénine et la ruscogénine, qui déploient des propriétés vasoconstrictrices remarquables. Ce qui permet d’utiliser le végétal comme traitement de pathologies d’origine veineuse comme les crises hémorroïdaires, les varices, les jambes lourdes. Le fragon faux houx est ausi connu sous les appellations de houx-frelon, de fragon petit-houx, de fragon piquant, de fragonnette, de buis piquant, de gringon, d’épine de rat ou de vergandier.

Le Fragon Faux Houx est reconnu pour aider à traiter les crises hémorroïdaires
Le Fragon Faux Houx est reconnu pour aider à traiter les crises hémorroïdaires

4 – Rutine (Extrait de Sophora Japonica) (95 mg)

En plus d’être un antioxydant naturel, la rutine possède des propriétés anti-inflammatoires et déploie un effet protecteur sur les vaisseaux sanguins. On l’emploie fréquemment comme traitement contre les hémorroïdes, les varices, les jambes lourdes et la micro-angiopathie. Comme tout flavonoïde, il optimise l’action de la vitamine C dans le corps en améliorant son absorption et en rétardant son élimination. La rutine est contenue dans le sarrasin, les baies (canneberges, abricot, cerises, mûres, …) et les agrumes (citrons, pamplemousses, limes, oranges, …). On le trouve aussi dans des plantes d’ornement ou d’ombrage comme le Sophora du Japon qui peut atteindre 25 m de haut.

5 – Acide ascorbique ou vitamine C (180 mg)

Très efficace lorsqu’elle est combinée à la rutine, l’acide ascorbique naturel ou vitamine C, découvert il y a un siècle, notamment en 1928 par l’Américain d’origine hongroise Albert Szent- Györgyi, n’a pas donné tous ses secrets malgré plusieurs décennies de recherche. Toutefois, cette molécule qu’on trouve en abondance dans plusieurs fruits et légumes crus (orange, pamplemousse rose, fraise, tomate, poivron rouge, kiwi, cantaloup, pomelo, brocoli, citron, …), est connue pour aider à soigner et guérir divers maux parmi lesquels figurent les crises hémorroïdaires. Linus Pauling, auteur du livre à succès « Vitamin C and the Common Cold » est un Prix Nobel de Chimie, qui a fondé un institut entièrement dédié à la Vitamine C. Cet éminent chercheur conseille de l’utiliser à très fortes doses pour guérir diverses maladies.

6 – Hespéridine (100 mg)

L’hespéridine, composé flavonoïde extrait de la peau des agrumes, s’avère efficace pour diminuer les enflures et l’inflammation des hémorroïdes. Dans son numéro d’août 2006, The British Journal of Surgery indique que l’examen de 14 études a montré que des patients souffrant d’hémorroïdes ont connu une amélioration significative des symptômes (inflammation, enflures, douleurs, démangeaisons) en prenant des traitements à base d’hespéridine. L’activité anti-hémorroïdaire de l’hespéridine résulte de la combinaison de deux effets : un effet vasculoprotecteur et un effet veintonique.

Comment utiliser Formule H afin d’en profiter pleinement ?

Il est recommandé aux utilisateurs de Formule H de prendre exactement 3 gélules par jour avec un verre d’eau au moment du repas. Il est possible de prendre l’ensemble des gélules en une seule fois par jour, par exemple le matin au petit déjeuner. Cela a l’avantage de réduire voire d’éviter les cas d’oubli de prise. Toutefois, l’utilisateur peut choisir de prendre une gélule au petit déjeuner, une au déjeuner et une autre au dîner.

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Acheter Formule H en ligne : gare aux arnaques !

L’indéniable efficacité de Formule H est le principal vecteur de son fulgurant succès. Mais la notoriété du produit a aussi attiré l’attention des personnes mal intentionnées qui y ont vu une occasion de se faire frauduleusement de l’argent. Ils n’hésitent pas à proposer en ligne de faux produits dans le but d’arnaquer les honnêtes gens, ou proposent à la vente des versions contrefaites qui, en plus d’avoir un dosage inapproprié en ingrédients actifs, peut contenir des substances dangereuses, nocives pour la santé.

Mais comment faire la différence entre Formule H et les contrefaçons ?

Le fabricant commercialise le complément alimentaire Formule H UNIQUEMENT sur son site officiel de vente. De cette façon, le circuit de vente est totalement maîtrisé. C’est un gage de sécurité pour les acheteurs et utilisateurs puisqu’il savent désormais que l’original Formule H ne s’achète pas en pharmacie d’officine, ni en magasin, ni sur les places de marché en ligne comme Amazon et Ebay, ni sur un site web quelconque, ni même chez les partenaires commerciaux du fabricant. Toute personne souffrant de crise hémorroïdaire et même de fissure anale peut donc sereinement acheter Formule H sur le site du fabricant car le produit ne se trouve pas ailleurs.

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Est-il possible d’acheter un traitement anti-hémorroïdaire efficace sans ordonnance ?

La crise hémorroïdaire est un trouble d’origine circulatoire qui figure sur la liste (régulièrement mise à jour par l’ANSM) des indications/situations/pathologies cliniques reconnues comme adaptées à un usage en médication officinale.[4] Ce qui signifie que certains médicaments contre les hémorroïdes peuvent être vendus sans ordonnance, directement au comptoir des pharmacies d’officine. En général, il s’agit de crèmes ou de pommades que tout le monde connaît et qui ne marchent pas toujours.

Pour trouver un traitement anti-hemorroïdes efficace, il est conseillé de prendre rendez-vous avec un médecin, d’aller en consultation chez lui. Sur la base des informations qu’il aura pu obtenir, ce professionnel de la santé posera un diagnostic précis et vous délivrera une ordonnance médicale qui vous permettra d’acheter un traitement anti-hémorroïdaire dans une officine traditionnelle.

Toutefois, si le malade ne peut pas (en raison des fortes douleurs et de l’inconfort) ou ne veut pas suivre ce parcours classique, il lui est possible d’acheter discrètement son traitement anti-hémorroïdaire efficace sans quitter le confort de sa maion ou de son bureau. Il peut commander Formule H directement en ligne, en toute sécurité et sans ordonnance préalable.

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Pourquoi les patients cherchent-ils à acheter des traitements contre les hémorroïdes sans ordonnance médicale ?

Bien qu’elle soit un trouble d’ordre circulatoire, la maladie hémorroïdaire se déclenche dans une zone anatomique très intime. Cette localisation en fait systématiquement une « maladie honteuse » pour un grand nombre de malades qui en souffrent régulièrement. Du coup, s’installe une véritable gène à en parler avec une tierce personne, fut-elle un professionnel de la santé. Cette gène explique en partie la réticence à la consultation médicale de ces malades et leur propension à opter pour des traitements sans ordonnance.

Certains malades souffrant d’hémorroïdes en subissent les manifestations avec acuité. Par exemple, le prolapsus est souvent si prononcé que les déplacements s’en trouvent limités. Plutôt que de se voir transportés d’urgence à l’hôpital, ces malades préfèrent recourir à un traitement efficace disponible sans ordonnance médicale préalable.

Il est difficile de parler de ses hémorroïdes, d'où la recherche de traitements efficaces sans ordonnance
Il est difficile de parler de ses hémorroïdes, d’où la recherche de traitements efficaces sans ordonnance

Traitements des hémorroïdes, quelles sont les possibilités ?

Pour traiter les hémorroïdes, les patients ont recours en première intention à des traitements à domicile (astuces, remèdes maison, compléments alimentaires et médicaments en vente libre) et à des traitements médicaux.

Traitements à domicile des hémorroïdes : le point des astuces, remèdes maison et médicaments en vente libre

Plusieurs personnes souffrant d’hémorroïdes soulagent l’inflammation et l’enflure par des traitements à domicile, avec des taux d’efficacité variés. Manger des aliments riches en fibres, des légumes, des fruits et des grains entiers est le conseil classique pour adoucir les selles et en augmenter le volume. Il y a alors moins d’efforts à faire au moment des selles, ce qui aide à ne pas aggraver les symptômes. Certains auteurs indiquent que le recours aux fibres devrait être modéré pour éviter les problèmes de gaz.

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Outre l’alimentation, des gestes relativement simples permettent de soulager les malades. Il s’agit en premier lieu de garder la zone anale toujours propre en se baignant ou se douchant tous les jours et en utilisant des lingettes exemptes de parfum et d’alcool (au lieu d’un papier de toilette sec) pour bien se nettoyer après les toilettes. Ensuite, il est possible de tremper la région anale dans de l’eau tiède ordinaire pendant une dizaine ou une quinzaine de minute, deux ou trois fois par jour. Puis, vient l’application de compresses très froides sur l’anus afin de soulager les enflures. Chacun y va de son inspiration.

D’autres traitements incluent les médicaments à usage topique. Il s’agit, entre autres, de suppositoires, de tampons contenant de l’hamamélis, et de crèmes ou pommades à base d’hydrocortisone. Plusieurs personnes affectées par les hémorroïdes préfèrent recourir aux analgésiques par voie orale tels que l’aspirine, l’ibuprofène et l’acétaminophène. En général, ils permettent de soulager temporairement les symptômes.

Dans cette quête de la guérison, d’autres malades préfèrent recourir à des compléments alimentaires qui s’avèrent des méthodes douces, naturelles, efficaces et qui ne nécessitent pas d’aller en consultation. Parmi eux, des produits comme comme Cyclo3 ont fait longtemps parler d’eux mais les spécialistes et les utilisateurs s’accordent à dire que le plus efficace reste incontestablement Formule H.

Quels sont les principaux traitements médicaux contre les hémorroïdes ?

Contrairement aux traitements à domicile, les traitements médicaux sont administrés à des patients c’est-à-dire à des malades pris en charge par le corps médical à l’issue d’une consultation médicale. Pour combattre les hémorroïdes, la médecine allopathique a recours soit à des traitements locaux, soit à des traitements par voie générale, soit à une combinaison des deux catégories.

Traitements locaux

Il s’agit de pommades, crèmes, suppositoires contenant, en plus de corticoïdes locaux, un lubrifiant, un anesthésique, un protecteur mécanique et/ou un phlébotrope. Bien qu’ils ne soient pas nocifs et se montrent bénéfiques à court terme[5], les traitements locaux n’ont pas une action préventive ni un bénéfice à long terme démontrées. C’est pourquoi, leur utilisation prolongée n’est pas conseillée.

Traitement par voie générale

Lorsqu’un trouble du transit intestinal (constipation, diarrhée) est associé aux hémorroïdes, on prescrit généralement des modificateurs du transit afin de réguler la fréquence et la consistance des selles. Ces remèdes contiennent des fibres alimentaires, des mucilages, des freineurs du transit intestinal et/ou des laxatifs osmotiques. Leur efficacité peut perdurer au moins 3 mois[6].

En présence d’hémorroïdes aigues, les spécialistes prescrivent des phlébotropes comme la troxérutine, la diosmine, l’hydroxyl-éthyrutoside et les dérivées de Ginko biloba. Des études montrent l’efficacité de ces traitement sur les saignements du rectum, le prurit et le suintement dus aux hémorroïdes[7].

Comment soigner les hémorroïdes : quelles sont les interventions médicales possibles ?

Il existe plusieurs sortes d’interventions médicales qui permettent de combattre les hémorroïdes. Il convient toutefois de distinguer le traitement instrumental du traitement chirurgical. L’injection sclérosante, la photocoagulation infrarouge, la ligature élastique et la cryothérapie sont, chacune, classée traitement instrumental tandis que le traitement chirurgical englobe l’hémorroïdectomie pédiculaire (ou traditionnelle), l’hémorroïdectomie agrafée, la chirurgie par radiofréquence telle que la procédure Rafaelo.

Comment soigner les hémorroïdes par sclérothérapie ?

Les injections sclérosantes sont indiquées pour guérir la maladie hémorroïdaire interne de grade 1 ou 2 accompagnée de saignements, et qui ne se résorbe pas malgré un traitement médical. Nécessitant une séringue jetable et une allonge de 10 cm, l’injection de la solution saline se fait à la base des pédoncules des hémorroïdes. Très délicate, elle ne doit pas être trop profonde (pour éviter les douleurs), ni trop superficielle (pour ne pas occasionner des oedèmes blanchâtres). Les tissus et vaisseaux sanguins ainsi traités s’affaissent et disparaissent à court terme. L’efficacité de cette méthode est de 70 à 90 % des cas[8] [9].

La photocoagulation infrarouge

Le recours à la photocoagulation infrarouge se fait lorsque la maladie hémorroïdaire de grade 1 ou 2 s’accompagnant de saignements n’a pu être guérie par le traitement médical. Muni d’un photocoagulateur à rayons infrarouge, le praticien applique la chaleur à la la base de chaque pédicule hémorroïdaire. On observe une cicatrisation 3 semaines après. Ce qui provoque la coagulation des capillaires et une fibrose cicatricielle. L’efficacité de cette méthode est de 40% à un an.

La ligature élastique

La pratique de la ligature élastique est indiquée pour traiter le prolapsus hémorroïdaire modéré avec rectorragie (saignement au niveau du rectum). Il convient aussi comme traitement des hémorroïdes internes avec prolapsus limité à un seul paquet. Au moyen d’un système aspirateur et d’un ligateur, le praticien ligature des tissus hémorroïdaires au dessus de la ligne pectinée ; ce qui conduit à la formation d’une escarre cicatrisant au bout de 3 semaines au plus. Cette méthode autorise au plus 4 séances, sachant qu’il faut laisser s’écouler 4 semaines entre 2 séances consécutives. Résultats : on observe une amélioration des symptômes ou la disparition de la maladie dans 70 à 90% des cas, dans le court terme. Entre 1 et 3 ans, les ligatures élastiques s’avèrent nettement plus efficaces que la photocoagulation infrarouge.

La cryothérapie, pour quelle efficacité ?

La cryothérapie consiste à utiliser le froid pour causer la nécrose du tissu muco-hémorroïdaire[10]. Cette méthode peut être conduite de diverses manières. La cryosclérose ou cryothérapie directe brève se fait en appliquant la cryode durant 3 minutes maximun au-dessus des hémorroïdes. Une autre modalité, la cryochirurgie, qui se réalise par une plus longue application, vise une nécrose plus profonde. Mais elle est de plus en plus abandonnée. La méthode la plus utilisée reste la cryothérapie dirigée qui se pratique en association avec une ligature élastique afin de booster la nécrose. L’efficacité de ces méthodes n’est pas confirmée par des études comparatives. On note, par contre, des effets secondaires fréquents avec diverses lésions induites, des saignements du rectum dans 5 % des cas, des douleurs et un suintement anal.

La cryothérapie, traitement puissant contre les hémorroïdes
La cryothérapie peut être un traitement pertinent contre les hémorroïdes

Électrocoagulation bipolaire

Également dénommée diathermie bipolaire, l’électrocoagulation bipolaire se réalise à l’aide d’un Bicap®. Cet appareil en forme de pistolet délivre 2 à 6 impulsions sur les paquets hémorroïdaires à traiter. Généralement, une seule séance suffit à coaguler toute la zone désirée. La séance peut être renouvelée 3 à 4 semaines après[11]. Sur les saignements, l’efficacité de cette méthode est inférieure à celle des ligatures élastiques et comparables à celle de la photocoagulation infrarouge. Cependant, la méthode entraîne un certain nombre d’effets indésirables qui en limitent son usage. Il s’agit notamment de douleurs intenses à modérées, de gêne anale quasi-constante et de rectorragies pouvant nécessiter une hémostase chirurgicale.

Faut-il préférer l’hémorroïdectomie traditionnelle ?

L’hémorroïdectomie traditionnelle, ou opération de Miligan Morgan, qui dure 30 minutes maximum, consiste à retirer les hémorroïdes sous anesthésie générale. Il s’avère le plus ancien mode opératoire et le plus connu du public. En plus des saignements fréquents qu’il peut occasionner, il est douloureux, surtout au moment de faire des selles, au cours des soins post-opératoires. Il peut nécessiter une hospitalisation de 3 jours et jusqu’à 30 jours d’arrêt de travail. Malgré une si mauvaise réputation, il s’avère la procédure chirurgicale la plus efficace contre tous les symptômes hémorroïdaires y compris les saignements, le prolapsus et les thromboses.

En quoi consiste l’hémorroïdectomie agrafée ?

Plus évoluée que sa version traditionnelle, l’hémorroïdectomie agrafée est une méthode chirurgicale consistant en l’ablation des hémorroïdes distendues. Les tissus hémorroïdaires qui restent sont alors ragrafés. Cette méthode idéale pour soigner les hémorroïdes internes et ses manifestations de troisième degré, s’avère aussi utile pour guérir les hémorroïdes de premier et de deuxième dégrés. Le mode opératoire est assez complexe. Il consiste à introduire, par l’anus, un tube rond et creux. Cet « intermédiaire » permet de placer une suture ou un long fil au dessus des hémorroïdes dans le canal anal. Le praticien insère alors une agrafeuse jetable afin de replacer les coussins hémorroïdaires dans leur état habituel. Après quoi, il ôte la bague autour du tissu hémorroïdaire élargi enfermé dans l’agrafeuse.

La ligature artérielle guidée par Doppler est-elle efficace ?

La ligature artérielle guidée par Doppler (DGHAL) est recommandée pour traiter les hémorroïdes de grades 2 et 3. Elle est déconseillée en cas d’hémorroïdes de grade 3. Toutefois, l’association mucopexie/DGHAL est recommandée pour combattre les hémorroïdes de grade 3[12] et grade 4[13]. La DGHAL ne se pratique que sur les hémorroïdes externes, en raison de son mode d’action. La DGHAL consiste en la diminution de la taille des hémorroïdes (au lieu de les exciser) et en la restauration des liens anatomiques hémorroïdaires dans le canal anal. Bien que les patients trouvent cette méthode assez efficace, elle faut noter qu’elle peut induire des complications comme les saignements, les tromboses (jusqu’à 7% des cas)[14], la rétention d’urine (plus de 5% des cas), la fissure anale.

La méthode Rafaelo : que retenir de cette intervention par radiofréquence ?

Innovante et prometteuse, la procédure Rafaelo est une nouvelle méthode qui révolutionne indéniablement le traitement chirurgical des hémorroïdes internes. Cette approche, axée sur la chirurgie par radiofréquence, se pratique en ambulatoire, sous anesthésie générale et donne des résutats probants aussi bien sur les hémorroïdes que sur les varices. En plus d’être relativement moins douloureuse, elle ne nécessite aucun arrêt de travail.

Le mode opératoire est relativement simple. Un mélange de sérum physiologique et d’anesthésique est injecté au patient entre l’hémorroïde et le muscle. Après quoi, des ondes de radiofréquence sont portées durant 15 secondes en moyenne, d’abord sous, puis sur, les hémorroïdes. Il en résulte leur rétractation, puis leur dessèchement. Trente jours plus tard, les résidus, sous formes de croûtes, sont naturellement évacués par l’anus. Aucun soin post-opératoire n’est nécessaire puisque l’intervention ne provoque aucune plaie sur la peau.

Pourquoi les femmes enceintes sont-elles davantage susceptibles d’avoir des hémorroïdes ?

Les femmes enceintes sont davantage susceptibles d’avoir des hémorroïdes parce qu’elles sont exposées à divers facteurs augmentant le risque hémorroïdaire. Il s’agit, entre autres, de :

  • modifications hormonales importantes,
  • constipation,
  • hausse du volume sanguin en circulation,
  • accroissement du volume de l’utérus à mesure que le bébé se développe.

Les spécialistes sont unanimes sur le fait que les hémorroïdes sont très sensibles aux variations hormonales. Aussi, la constipation oblige la femme en grossesse à faire des efforts pour faire ses selles, ce qui peut mettre les hémorroïdes à rude épreuve. L’affectation de la circulation sanguine est indéniable. Cela peut occasionner une inflammation des veines notamment lorsque le poids du bébé peut faire pression sur les zones du rectum et de l’anus, pendant les deuxième et troisième trimestres de la grossesse.

La grossesse favorise l'apparition d'hémorroïdes
La grossesse favorise l’apparition d’hémorroïdes

Quels sont les facteurs favorisant l’apparition des hémorroïdes ?

Plusieurs facteurs de risques hémorroïdaires sont identifiés. Ils vont des facteurs alimentaires jusqu’à la chaleur, en passant par l’état de grossesse et la sédentarité, entre autres :

  • Facteurs alimentaires

Un régime alimentaire pauvre en fibres est un facteur de risque important. Aussi, boire beaucoup d’alcool au détriment de l’eau peut occasionner l’apparition des hémorroïdes.

  • Troubles du transit intestinal

La constipation et la diarrhée sont des troubles du transit intestinal soupçonnés d’induire la maladie.

  • État de grossesse

Une femme enceinte sur dix est confrontée aux hémorroïdes en raison de changements hormonaux, de l’accroissement du volume utérin (dû au développement du bébé) qui fait pression sur les veines situées dans la région de l’anus et du bas du rectum. L’accouchement s’avère un facteur de risque non négligeable à cause des efforts de poussées qu’il nécessite. Certains spécialistes indique aussi que la femme est susceptible de faire des crises en période prémenstruelle.

  • Sports pratiqués en station assise

La conduite automobile, la moto, le cyclisme et l’équitation sont identifiés comme sport à risque hémorroïdaire.

  • Sédentarité

Le fait de travailler longtemps debout (cuisiners, ouvriers, …) ou assis (pilotes de ligne, chauffeurs de bus ou autres) est jugé à risque.

  • Médicaments

Au nombre des médicaments à risque hémorroïdaire figurent des traitements locaux tels que les suppositoires, ainsi que les antidépresseurs, les hypnotiques et les laxatifs.

  • Chaleur

Certains spécialistes indiquent que le mal peut provenir d’un excès de chaleur dans le gros intestin qui serait dû au port fréquent de lourdes charges, à la station assise prolongée ou à la consommation d’aliments piquants (très épicés). Parmi les signes de chaleur précurseurs des hémorroïdes, figurent douleurs abdominales, lourdeur du corps, soif sans envie de boire et sensation de pression sur la poitrine.

Les aliments épicés peuvent être à l'origine de fortes chaleurs dans le gros intestin
Les aliments épicés peuvent être à l’origine de fortes chaleurs dans le gros intestin

Quels sont les principaux types d’hémorroïdes ?

Il existe deux principaux types d’hémorroïdes à savoir les hémorroïdes internes et les hémorroïdes externes. Par ailleurs, le corps médical distingue 4 grades d’hémorroïdes en se référant à leurs aspects cliniques.

Hémorroïdes internes

Les hémorroïdes internes qui constituent le type le plus répandu, se développent dans la partie basse du rectum et/ou dans l’anus. Elles correspondent à l’inflammation des veines localisées dans ces parties. En général, elles ne causent pas de douleur et s’avèrent plus difficiles à détecter. Cependant, elles ont trois signes caractéristiques.

1 – Les saignements

Les saignements dus aux hémorroïdes internes ne sont pas très importants car il n’y a pas un écoulemnt spectaculaire. Ils sont visibles dans les selles : le sang se dilue dans les liquides des selles et donne l’impression qu’il y a des saignements intenses. Il n’en est rien, il ne faut donc pas s’inquiéter outre mesure.

2 – La gène ou l’inconfort

Les personnes souffrant d’hémorroïdes internes ont une sensation d’inconfort, de gène au niveau de la paroi interne de l’anus. Ce ressenti est exacerbé au moment de la défécation.

3 – La sensation de brûlure

Les hémorroïdes internes peuvent induire une légère sensation de brûlures au niveau de la paroi de l’anus.

Zen et détendue

Hémorroïdes externes

Les hémorroïdes externes sont plus faciles à identifier car elles se traduisent le plus souvent par un prolapsus voire plusieurs saillies. Ces saillies sont, en fait, sont des veines qui se sont dilatées en raison de la forte pression exercée sur elles. Leurs formes sont très variées : elles peuvent être ronde, ovales ou aplaties avec une texture souple, froissée ou lisse. La variation de leurs tailles est impressionnantes, allant de quelques millimètres à environ trois centimètres. Elles peuvent être aussi grosses qu’une noix.

La coloration des hémorroïdes externes varie en fonction de leur stade d’avancement. Elles peuvent prendre la couleur de la peau, être brunes, être gorgées de sang au point de devenir rouges, avant de virer au violet et même au bleu foncé. Ce stade avancé peut s’aggraver en thrombose hémorroïdaire. Il importe donc de ne prendre le traitement des hémorroïdes à la légère. Les hémorroïdes externes peuvent aussi saigner et s’avèrent douloureuses. La douleur est une caractéristique des hémorroïdes externes qui se montrent particulièrement atroces quand le moment de s’asseoir ou d’aller à la selle. Toutefois, les spécialistes s’accordent sur le fait que les hémorroïdes externes sont plus faciles à soigner.

Quels sont les 4 grades des hémorroïdes ?

  1. Les hémorroïdes de grade 1 sont congestives, sans prolapsus.
  2. Les hémorroïdes de grade 2 se prolabent au moment de faire les selles (probablement en raison des efforts fournis) et se réintègrent d’elles-mêmes après les selles.
  3. Les hémorroïdes de grade 3 se prolabent lors de la défécation et nécessitent une réintégration manuelle.
  4. Les hémorroïdes de grade 4 sont constamment prolabées et ne peuvent être réintégrées manuellement.

Comment prévenir l’apparition de la maladie hémorroïdaire ?

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Les personnes ayant déjà souffert régulièrement de ce mal peuvent l’éviter à l’avenir. Il leur faut, de l’avis des spécialistes, en éviter les principaux facteurs déclencheurs. En plus de limiter ou d’éviter la consommation d’aliments déconseillés comme le vinaigre, le café, le chocolat, l’alcool, l’ail, l’oignon, la tomate et le persil, elles devraient consommer sans modération des aliments recommandés tels que le pain aux céréales, les épinards, la salade verte, l’oranger, la poire et l’ananas. Les médecins conseillent à leurs patients de boire au moins 2 litres d’eau par jour et de manger beaucoup de fibres pour éviter d’avoir des hémorroïdes. Il faut savoir que les aliments riches en fibres sont légion. Il s’agit par exemple des épinards, des petits pois, des panais, des pommes de terre, des choux de Bruxelles, etc.

Cela dit, la prévention du mal ne tient pas uniquement à l’alimentation. Il faut aussi éviter la sédentarité en bougeant souvent pour changer ses postures, en faisant de la marche ou d’autres exercices physiques, pas forcément intenses (jogging, natation, …) à l’exception du vélo, de la moto et tout ce qui implique la station assisse prolongée. L’hygiène intestinale est plus que salutaire en matière de prévention. Dans ce cadre, il faut notamment privilégier les suppléments de fibres (disponibles en pharmacie sans ordonnance préalable) comme laxatifs, ne pas retenir son souffle, ni forcer aux moments de faire des selles, et ne pas rester assis aux toilettes plus longtemps qu’il ne le faut.

Une autre moyen efficace pour prévenir les hémorroïdes est l’usage de Formule H. En effet, ce complément alimentaire a une valeur préventive probante, de l’avis des spécialistes et des utilisateurs.

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Références

[1] Denis J, Dubois-Arnous N, Ganansia R, Puy-Montbrun Th, Lemarchand N. Hémorroïdectomy : Hospital Leopold Bellan procedure. Int Surg 1989 ; 74 : 152-153.

[2] Hyams L, Philipot J. An epidemiological investigation of haemorroïds. Am J Proctol 1970 ; 21 : 177-183.

[3] http://cdhf.ca/fr/statistiques

[4] http://ansm.sante.fr/Dossiers/Medicaments-en-acces-direct/Medicaments-en-acces-direct

[5] Jiang Z, Tang W, Cao J, et al. Double-blind randomized clinical trial in evaluating the efficacy and safety of rectum mucosa protector in the treatment of acute hemorrhoids. Chin J Surg 2001;39:53-5

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